L’auteur vous fait découvrir l’univers de ses romans autour de L’Émeraude

Laissez-vous emporter dans l’univers historique des romans.

Ce qu'aime Jérôme VAUQUELIN, c'est identifier des faits historiques, en comprendre le contexte et leurs répercussions. Puis, il fait graviter ses personnages dans l’entourage de ceux qui ont fait l’Histoire.

Il s’attache à décrire des émotions, des instants de vie, de bonheur et de drame. C’est une lutte du bien contre le mal, mais ce dernier n’est pas toujours là où on le pense.

Ses personnages révèlent progressivement leurs doutes, leurs rêves, leurs faiblesses et la force de leurs convictions. Ils partagent avec le lecteur les moments forts ou anodins de leur existence, que ce soit dans l'horreur d’un combat à mort, ou dans l'excitation d’une étreinte amoureuse.

Les scènes sont vécues du point de vue des personnages. Parfois, un même moment est narré avec les yeux de protagonistes différents.

Il s’agit de fictions construites autour d’événements authentiques, où se mêlent l’aventure, le voyage et les références historiques.

L'humour et la fantaisie ne sont jamais très loin, avec des dialogues parfois égrillards et, de temps en temps, des moments plus sensuels.

Pourquoi avoir créé un univers autour de L’Émeraude ?

Jérôme VAUQUELIN nous raconte comment lui est venue l’idée de la saga de l’Émeraude.

La bague de fiançailles de sa mère est une magnifique émeraude portée quotidiennement. Quand son frère et ses sœurs se sont mariés, la bague de la fiancée était une émeraude. Aussi, celle qu’il offrit à sa promise était également une émeraude, entourée de barrettes de diamant dans une monture peu commune, constituée de petites vagues autour de la pierre.

Un bijoutier estima que la bague datait du début du XIXe siècle et, indiqua-t-il, de « style polonais ».

Sur le moment, il n’en fallut pas plus pour que l’auteur s’amuse à imaginer la vie des jeunes filles qui, successivement, avaient porté cette bague : une princesse polonaise, puis une grande bourgeoise russe ou prussienne, une lointaine héritière des pays baltes avant d’arriver en France, par on ne sait quel concours de circonstances…

Il conserva l’idée dans un coin de sa tête pendant près de dix-huit ans. Quand il écrivit ses premières lignes, il voulut retrouver l’un des berceaux possibles de l’Émeraude, et son inspiration lui fit choisir l’Amérique latine, puis le XVIe siècle avec son premier roman : L’Émeraude et Nayeli.

Finalement, contrairement à son idée première, ce n’est pas la même émeraude qui est au centre de chacun des opus, mais il compte bien les réunir toutes, un jour…